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Commentaire Ce qui demeure

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Genèse 8, 6-13.20-22

Si les Pères de l’Église ont interprété le déluge comme une figure du baptême, ils ont vu dans l’arche celle de l’Église censée permettre au croyant la traversée des eaux tumultueuses de la vie et de la mort. Quoi qu’il en soit, à travers ce récit qui prête à Dieu des sentiments humains, l’auteur biblique nous partage sa conviction de foi : celle d’une alliance indéfectible entre Dieu et l’humanité. Ce dont témoigne la stabilité du cosmos qui demeure, alors même que l’homme passe (cf. Qo 1, 4). ■

SÅ“ur Emmanuelle Billoteau, ermite

Éditorial de janvier 2025
Jean Grou

Portés par l’espérance «Si l’espérance t’a fait marcher plus loin que ta peur / Tu auras les yeux levés. Alors tu pourras tenir jusqu’au soleil de Dieu.» Ce sont les…