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Commentaire La mort anéantie

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Hébreux 2, 14-18

Notre crainte de la mort n’est pas illégitime et Jésus lui-même a aspiré à voir s’éloigner l’épreuve de sa Passion. Mais il n’en a pas été esclave, mettant sa volonté entre les mains du Père, dont la puissance de vie anéantit la mort. Tous les soirs à complies, moines et moniales prient pour ceux qui vont mourir dans la nuit : ils nous présentent dans la foi à celui qui accompagne chacun de l’agonie jusqu’à la résurrection. ■

Nicolas Tarralle, prêtre assomptionniste

Éditorial de janvier 2025
Jean Grou

Portés par l’espérance «Si l’espérance t’a fait marcher plus loin que ta peur / Tu auras les yeux levés. Alors tu pourras tenir jusqu’au soleil de Dieu.» Ce sont les…