26e semaine du temps ordinaire - Couleur liturgique: blanc
Job 38, 1.12-21 ; 40, 3-5 ; Luc 10, 13-16
Nous lisons aujourd’hui deux textes vertigineux. Job, placé par Dieu (comme François d’Assise) devant la splendeur d’une Création qui ne tourne pas autour de lui, accède à la gratuité. Sa plainte cesse. Les localités de Galilée ne savent pas, quant à elles, qu’elles jouent leur entrée dans la « vraie vie » sur l’accueil qu’elles feront aux disciples, ces pauvres porteurs des richesses du Royaume. ■
Jean-Marc Liautaud, Fondacio
Faire mémoire largement Le personnage d’Ananie dans le Nouveau Testament, ça vous dit quelque chose? Non? Ne vous en faites pas, c’est bien normal. Il n’apparaît que deux fois, plutôt…
1182-1226. “Accueillez, avec humilité et charité, les paroles toutes parfumées de notre Seigneur Jés...
Le Seigneur s’adressa à Job du milieu de la tempête et dit : « As-tu, une seule fois dans ta vie, do...
Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais !Tu sais quand je m’assois, quand je me lève ;de très loin, tu p...
En ce temps-là, Jésus disait : « Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde ! Car, s...
Antienne d’ouverture François, l’homme de Dieu, quitte sa maison, abandonne son héritage ; il se fai...
Le dénuement de Job le conduit à la plainte : il appelle la mort. Les disciples envoyés par Jés...
La fête des Saints Anges gardiens nous emmène vers la version matthéenne de la scène racontée lundi...
La question de la gratuité, posée hier en Job, rebondit aujourd’hui chez Luc. Être capable de gratui...